1

Pensée du 04 janvier 15

Pour accueillir l’année nouvelle, quelques idées de plaisir proposés par le moteur de recherche. J’ai noté

Recherches associées à le plaisir de

le plaisir de gourmandisele plaisir de lirele plaisir de skier

Pour la gaité définit comme une Disposition à être de bonne humeur, caractérisé comme une Vivacité de belle humeur franche et communicative. je donne la parole à nos illustres écrivains.

  1. Les hommes mêmes n’ont pas en Perse la gaieté qu’ont les Français. (Charles-Louis de Secondat Montesquieu, Lett. pers., 34)
  2. Le vrai caractère de la gaieté italienne, ce n’est pas la moquerie, c’est l’imagination. (Anne Cette gaieté qui ne tenait en rien à la moquerie, mais seulement à la vivacité de l’esprit, à la Staël-Holstein, Corinne, VII, 2)
  3. fraîcheur de l’imagination. (Anne Staël-Holstein, ibid. II, 2)
  4. Je connais Victor : sa gaieté est une gaieté sans esprit, une gaieté de caserne, il est sans talent et dépensier. (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, 1832)

En peinture Matisse illustre la joie de vivre par des personnages durant l’âge d’or, ils dansent s’embrassent et écoutent de la musique.

Le silence et la solitude ont aussi leur place :

« Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté » extrait de l’invitation au voyage de Charles Baudelaire Les fleurs du Mal

Je vous souhaite à tous une excellente année 2015 et vous invite à partager mon moment de joie de l’année 2014

https://www.youtube.com/watch?v=hkfoWMC4DeI

L ' A C A D E M O S

« Enfin, il est peut-être temps de dire que le « secret » d’une bonne vie, c’est de se moquer du bonheur : ne jamais le chercher en tant que tel, l’accueillir sans se demander s’il est mérité ou contribue à l’édification du genre humain ; ne pas le retenir, ne pas regretter sa perte ; lui laisser son caractère fantasque qui lui permet de surgir au milieu des jours ordinaires ou de se dérober dans les situations grandioses. Bref le tenir toujours et partout pour secondaire puisqu’il n’advient jamais qu’à propos d’autre chose. Au bonheur proprement dit, on peut préférer le plaisir comme une brève extase volée au cours des choses, la gaieté, cette ivresse légère qui accompagne le déploiement de la vie, et surtout la joie qui suppose surprise et élévation. Car rien ne rivalise avec l’irruption dans notre existence d’un événement ou d’un être qui nous ravage et nous ravit. Il y a…

Voir l’article original 38 mots de plus